vendredi 22 août 2014

Feuille de Route pour Entrepreneurs Sociaux


Plusieurs d’entre nous ressentons, au plus profond de notre être, le besoin de transformer nos communautés, notre environnement et notre monde afin qu’ils soient plus juste, plus durables et plus solidaires.

Nous ne voulons pas rester les bras croisés à attendre LA solution.

Nous souhaitons plutôt être des acteurs de premier plan dans le développement social de notre société.

Mais, bien souvent, nos bonnes intentions sont freinées brutalement par le constat que nos actions seront si insignifiantes qu’elles n’auront aucun impact et qu’elles ne changeront rien.

Nous avons aussi peur d’être jugé et de ce que diront les autres …

Alors, comment expliquer le succès de ces hommes et de ces femmes qui nous inspirent par leur dévouement et leur capacité à changer le monde?

Des personnages que nous voyons plus grands que nature comme Nelson Mandela et David Suzuki…, ou encore, plus près de chez nous - le Dr. Gilles Julien et Steven Guilbeault.

Le succès de ces activistes s’explique grâce à leur productivité, leur innovation et leur esprit d'initiative, en plus de leur faculté à visualiser et à s'adapter aux conditions changeantes de nos sociétés.

Êtes-vous suffisamment éclairé à propos des stratégies, des habitudes de vie et de l’état d’esprit à cultiver pour passer à l’action et réussir?

Saviez-vous que toute personne qui sait être empathique, travailler en équipe et faire preuve de leadership peut changer le monde?

Alors comment, s’y prendre?

Selon vous, quelles est la recette pour devenir de véritables agents de changement positifs dans votre communauté?

Je me suis longtemps posé la question et cet été je suis tombé sur les travaux et l’approche en coaching de George Kao.

dimanche 17 août 2014

La Fabuleuse Épopée de Movez et Cie



Attention! Ceci n’est pas la conclusion d’une aventure, mais bien son commencement…

Bonjour,

Ça fait longtemps que je ne vous avais pas écrit,

Je suis de retour et j’ai aujourd’hui une aventure à vous proposer.

Mais avant, j’aimerais vous parler un peu de ce que j’ai vécu au cours des derniers mois.

Je n’ai pas vraiment l’habitude de partager mes histoires personnelles, mais là, je crois que ce sera nécessaire pour mieux vous faire comprendre mon projet

Tout d’abord, sachez que je me considère comme un entrepreneur social.
C’est important pour moi de pouvoir intégrer dans ma vie professionnelle mon envie de « changer le monde ». Je veux donner un sens à mon travail et l’environnement et le « mieux-être social » sont les deux causes qui me tiennent le plus à cœur.

C’est pour cette raison que j’ai créé mon entreprise, Conseil Movez Action, en 2008.

Avec ce projet d’affaires, j’ai toujours eu pour objectif de travailler avec les entrepreneurs, les artistes et les organismes communautaires afin de les aider à trouver des solutions innovantes aux défis auxquels ils font face.

Tout ça, c’est un bien beau projet, mais il faut aussi vivre et payer ses factures. C’est tout un défi à relever.

La vie de travailleur autonome n’est pas de tout repos et les dernières années n’ont pas été faciles pour moi.

Côté travail, il y a eu beaucoup de tâtonnement dans mes offres de services à travers Conseil Movez Action. J’ai jonglé avec plusieurs idées de services et de rôles que je pouvais jouer auprès des entrepreneurs, des artistes et des organisations communautaires. Certains ont bien fonctionné, d’autres moins.

Aussi, je me suis lancé dans le projet ambitieux de construire, pour ma famille et moi, une des maisons les plus écologiques du Québec (Projet Jasmine). Je me suis beaucoup investi dans ce projet et souvent au détriment de mes autres obligations.

La maison est aujourd’hui construite. Elle est super belle et super écolo, mais elle a creusé un trou béant dans mon portefeuille (et il n’est pas encore recousu) et elle a laissé mon couple pas mal écorché.

À l’été 2013, je me suis même mis dans la tête que je pouvais devenir entrepreneur en construction et rénovation écologique, mais pour réaliser que ce n’était pas vraiment mon domaine de prédilection, ni ma véritable force.

Alors, en juin dernier, je me suis retrouvé à la croisée des chemins.