vendredi 27 avril 2012

Les 4 opportunités d’innovations vertes les plus lucratives pour votre entreprise selon Jacquie Ottman

Le Jour de la Terre est maintenant derrière nous et je suis heureux de voir que des dizaines de milliers de personnes ont répondu à l’appel un peu partout au Québec.

Je crois que le niveau de conscience des Québécois quant aux enjeux de l’exploitation de nos ressources et de la protection de l’environnement a atteint un point de rupture intéressant à la suite des événements des derniers mois.

Alors, maintenant, que pouvons-nous faire en tant qu’entrepreneurs ou professionnels du développement durable pour proposer des alternatives plus vertes aux Québécois et profiter de ce momentum pour innover?

La semaine dernière, j’ai écouté les présentations de plusieurs panélistes du Green Business Entrepreneur Succes Summit, ce salon virtuel des entrepreneurs verts qui a eu lieu du 16 au 20 avril.

Certaines des présentations ont été de véritables révélations pour moi et j’aimerais en partager quelques-unes avec vous au cours des prochaines semaines.

Tout d’abord, lors de l’entrevue intitulée Les Nouvelles Règles du Marketing Vert, l’auteure et conférencière Jacquie Ottman a présenté sa vision des 4 opportunités d’innovations vertes les plus prometteuses et les plus lucratives.

Voici les quatre secteurs identifiés :

-         Le secteur des énergies renouvelables et le développement des technologies qui utilisent le soleil et le vent.
-         Le secteur des applications mobiles
-         Le secteur des matériaux biosourcés, c.-à-d. des matériaux composés, en partie ou en tout, d'une ou de plusieurs substances organiques renouvelables issues du domaine du vivant.
-         Les nouveaux modèles d’affaires tirés de l’économie du partage.

Des quatre secteurs identifiés par Jacquie Ottman, c’est celui de l’économie du partage qui m’a le plus inspiré.

L’économie du partage c'est quoi?

lundi 16 avril 2012

500 millions de personnes passeront à l’action… et vous?


Le Jour de la Terre marque tous les ans l'anniversaire de la naissance, en 1970, du mouvement environnemental tel qu'on le connaît aujourd'hui. Le jour de la Terre fut fêté pour la première fois le 22 avril 1970, lorsque le sénateur américain Gaylord Nelson encouragea les étudiants à mettre sur pied des projets de sensibilisation à l'environnement dans leurs communautés.

Au Québec, c'est depuis 1995 qu'on le célèbre en organisant toutes sortes d'activités de sensibilisation face aux enjeux environnementaux. Le Jour de la Terre fait résonner haut et fort le message que des citoyens de toute la planète souhaitent une action rapide et décisive en faveur de l'énergie propre.

Aujourd'hui, plus de 500 millions de personnes dans 184 pays passent à l'action chaque année dans le cadre du Jour de la Terre. Au fil des ans, le Jour de la Terre est devenu l'événement participatif écologiste le plus important de la planète.

Peu importe le chapeau que vous portez – professionnel, entrepreneur, ouvrier, politicien, enseignant, citoyens ou parent – il y a au moins une action que vous pouvez entreprendre dès maintenant face aux enjeux de l’environnement.

Moi, je souhaite m’adresser aux entrepreneurs et aux professionnels du développement durable.

Aujourd’hui, commence la première journée du Salon Virtuel des Entrepreneurs Verts organisé par Green Marketing TV.

Cet événement, qui aura lieu du 16 au 20 avril, pourrait révolutionner votre façon de voir les affaires et le développement durable.

Il s’agit d’un MBA alternatif sur l’entrepreneuriat vert.

Une opportunité de discuter et d’échanger avec la crème des leaders nord-américains en développement durable dans le domaine de la conduite globale des affaires : stratégie, marketing, finances, ressources humaines et management.

Une occasion de trouver des réponses, des inspirations et des opportunités pour vos projets verts.

mercredi 11 avril 2012

Les 7 Péchés du Greenwashing selon TerraChoice


Depuis le tournant du millénaire, nous observons un véritable engouement des publicitaires pour une communication sur les qualités écologiques des produits.  
Mais attention, ces messages éco-responsables doivent respecter certains critères afin d’être pertinents aux yeux du consommateur et véritablement justifiable pour l’environnement, sans quoi le Greenwashing pourrait se retourner contre vous.


LA DÉFINITION DU GREENWASHING

Le terme « greenwashing » est une appellation anglophone qui peut être traduit par 
« verdissement d’image » ou « écoblanchiment »

Il est utilisé par les groupes de pression environnementaux pour désigner les efforts de communication des entreprises au sujet de leurs avancées en matière de développement durable, avancées qui ne s’accompagnent pas de véritables actions en faveur de l’environnement.

L’écoblanchiment est un procédé de marketing utilisé par une organisation dans le but de
donner à l’opinion publique une image écologique responsable, alors que plus d’argent a été
investi en publicité « verte » (la couleur verte symbolisant ici l’écologie) que pour de réelles
actions en faveur de l’environnement.
 
À la notion de greenwashing est opposée celle de publicité éthique.
 
Le mot greenwashing trouve son origine dans la contraction des mots « green », vert et « brainwashing », ou lavage de cerveau. 



 




Voici donc les 7 péchés du "Greenwashing":

jeudi 5 avril 2012

9 conseils et 9 stratégies pour un « passage au vert » réussi


La semaine dernière j’ai fait la connaissance de Gino Ouellet.

Le connaissez-vous?

Moi je l’ai découvert en lisant un article sur l’écomarketing de la BDC.

Dans une industrie très concurrentielle, Gino Ouellet, Président Directeur Général de Bois BSL inc., s'est brillamment démarqué en «passant au vert».

Parti d'une petite scierie achetée en 1995, M. Ouellet a maintenant 7 usines où 210 employés produisent des planchers de bois franc, des moulures décoratives et des bûches de chauffage écoénergétiques.

Alors que l'industrie forestière battait de l'aile, l'entreprise Bois BSL de Mont-Joli,
dans le Bas-Saint-Laurent, a investi près de 3 millions $ en 2009-2010 dans de nouvelles unités de production de bûches énergétiques, de finition de planchers de bois franc, d'un séchoir à biomasse et de nouveaux équipements.

«Bois BSL a profité du ralentissement économique pour revoir de fond en comble sa structure de fonctionnement en accentuant le développement de sa division des produits énergétiques. L'augmentation de notre volume d'affaires se fera de ce côté», de dire Gino Ouellet

Par cette initiative, vingt-cinq emplois ont été créés et 45 autres maintenus.

mardi 3 avril 2012

Les propriétaires de voitures hybrides sont davantage disposés à en racheter une autre - - Réseau entreprise et développement durable

Ne cessez jamais d'innover!

Une des stratégies importantes pour réduire le Green Gap est d'innover continuellement pour créer de nouvelles innovations vertes qui pourront surclasser les produits et services courants.

Mais pour trouver des débouchés à ces innovations, il ne faut pas perdre de vue vos clients actuels. Ce sont souvent les plus facile à convaincre, ce sont vos Super Verts. Ils ont un rôle crucial à jouer lors du lancement d'une nouvelle marque et pour développer la loyauté envers un produit ou un service.

"Lorsque les nouvelles technologies permettent d’améliorer les innovations écologiques, ils ne devraient pas oublier leurs clients actuels – qui sont probablement ouverts à l’idée d’acheter la nouvelle version du produit."

"Leur satisfaction et leur volonté de racheter un tel produit en font d’excellents communicateurs pour persuader les autres à effectuer la transition."

Lisez la suite sur l'article résumé par Jessica Kilcoyne et l'équipe du REDD.

Bonne lecture!